Dirty Sexy Money

Pendant cette période de grève des scénaristes américains, toutes mes séries préférées sont en stand-by (Heroes, Scrubs, The Big Bang Theory, Prison Break, etc.), je me suis donc mis à regarder d’autres séries. Je vous parlerai dans un autre article de The IT Crowd que j’ai découvert la semaine dernière et qui m’a bien plu. Mais aujourd’hui j’ai décidé de regarder une série moins connue appelée Dirty Sexy Money.

Comme d’habitude, je vous copie le synopsis rédigé par Allocine.fr qui résume bien la série :
Les Darling sont une des familles les plus puissantes de New York. Dans la droite lignée des Kennedy, ils ont l’argent, le pouvoir, des ambitions et une fâcheuse tendance à se retrouver dans des situations impossibles, à fricoter avec des gens peu recommandables… S’ils n’avaient pas Nick George, leur avocat, pour les tirer d’affaire, pour éviter la Une des magazines trash ou, pire, la prison, leur declin aurait commencé depuis bien longtemps. Pourtant Nick, avocat idéaliste, a longtemps refusé sa destinée : servir les Darling. Avant lui, son père s’était livré corps et âme à cette famille destructrice en devenant leur conseiller. Nick ne sait pas si servir les Darling est une chance ou une sentence…

 

Aujourd’hui j’ai regardé les deux premiers épisodes. Et dès le pilote (premier épisode), le ton est donné : ambiance rock (dirty/sexy) dans un monde où le fric reigne (money).
Rien qu’à la première musique du premier épisode, on se fait une idée de la série. Cette musique étant « Wake Up » de Rage Against The Machine (Wiki : « RATM est connu pour ses nombreuses revendications et son appui à différents mouvements de revendication sociaux et musicaux.« ). Puis dans la suite de l’épisode et de l’épisode 2, les musiques sont très rock et marquent un très gros contraste avec l’image de la bonne famille riche et puissante. La réalisation est aussi très Rock, mais comme je ne m’y connais pas, je ne connais aucun terme qui qualifierait la réalisation à part de très rock, comme on peut le voir dans certains films (Snatch par exemple).

 

En clair, dans cette série, nous suivons la vie mouvementée d’une famille riche et puissante, traînée dans des affaires plutôt trashes :
· L’ainé de la famille veut se présenter aux élections pour devenir sénateur américain, mais sa compagne n’est autre qu’un(e) transexuel(le)
· Un autre fils est révérend, a une famille et a un enfant avec une autre femme que la sienne
· Deux enfants jumeaux (un gars et une fille), sont les stéréotypes des enfants de riches à la sauce Paris Hilton & Co.
Et plein d’autres embrouilles… Mais heureusement, le personnage principal Nick George est leur avocat et « démerdeur » officiel, comme l’était son père qui est décédé dans d’étranges circonstances.
Bref cette série est une exploration du milieu des familles riches américaines d’une façon Rock ‘N Roll.

 

J’ai été étonnement surpris de retrouver l’acteur Peter Krause, qui, je le rapelle, était l’acteur principal de la mini-série The Lost Room. Une fois de plus, il joue un rôle décalé par rapport aux autres personnages de la série, comme dans The Lost Room, il joue le rôle du personnage le plus humain, gentil et proche du téléspectateur.
De l’autre côté, nous avons aussi dans cette série Donald Sutherland (Braquage à l’Italienne, Retour à Cold Mountain, Orgueil et Préjugés), qui joue le rôle du père de la riche famille. Si Sutherland vous dit quelque chose c’est parce qu’il est le père de Kiefer Sutherland (24h).
Bref, je vais continuer à regarder cette première saison, voir si l’ennui arrive à être mis de côté, et comme d’habitude, si je vois que cette série garde son esprit au fil des épisodes, je vous en reparlerai.

2 réflexions au sujet de “Dirty Sexy Money”

  1. Bonsoir.
    je cherche egallement une photo de ce tableau, es ce que quelqu un a un lien avec cette photo, ou sait dans quel episode on peut voir le tableau??
    Merci

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